Audio : Mika invité dans « Les Grosses Têtes » sur RTL

Mika était invité dans « Les Grosses Têtes » sur la radio RTL. L’émission, présentée et animée par Laurent Ruquier, a été diffusée le lundi 11 décembre 2023. Réécoutez et téléchargez le passage de Mika.

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Interview « Le Journal du dimanche » – Mika : « Je n’ai pas de langue maternelle »

Retrouvez cette interview dans le « Journal du dimanche » du dimanche 10 décembre 2023.

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Audio : Mika en interview dans « Le Mag’ Loisirs » sur France Bleu

Mika était l’invité de l’émission « Le Mag’ Loisirs » présentée et animée par Laurent Petitguillaume. Cette interview a été diffusée le dimanche 10 décembre 2023.

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Interview « Version Femina » – Mika : « L’amour n’est jamais très loin de nous »

Le chanteur nous met des paillettes plein la tête depuis son tubesque « Grace Kelly » en 2007. Et son nouvel album, « Que ta tête fleurisse toujours » (Island/Universal), tient toutes ses promesses de chansons prêtes à danser, à la bonne humeur résolument contagieuse. A 40 ans, toujours aussi sympathique, doué, attentionné et élégant qu’à ses débuts, Mika distille une joie intense, aussi bien sur scène qu’à la ville. Un vrai remède à la morosité, idéal en cette période de fêtes.

« Que ta tête fleurisse toujours » : pourquoi un titre d’album aussi surprenant ?

A 7 ans, j’ai eu des problèmes de harcèlement à l’école. Du coup, je ne lisais plus, je n’écrivais plus, j’ai arrêté de parler pendant neuf mois… A tel point que j’ai été viré de l’établissement. Ma mère m’a alors dit : « OK, si tu ne vas pas à l’école, tu iras au parc pour dessiner et tu vas apprendre à chanter et à jouer du piano à la maison. » Quand elle est partie, en 2021, j’ai compris que son message était : « Tant que ta tête fleurit, que tu es créatif, alors tout ira bien. » Je défendrai toujours l’idée que l’imaginaire et la musique peuvent changer la vie des gens.

Comment définissez-vous ce disque ?

Il est fondamentalement pop dans l’esprit, coloré, décalé, mélodique, alternatif. Il n’est pas du tout « variétés », ni lisse, mais accessible. Il comporte autant un côté charnel que des câlins et des cœurs. Faire un album est un processus très sérieux et, en même temps, furieusement amusant. J’aborde des sujets profonds, mais sur une musique très dansante. Pour moi, c’est une sorte de résistance douce et poétique, un désir de métaboliser la vie, la tristesse, le vieillissement, pour les métamorphoser en quelque chose d’autre. Quand on y arrive, on se sent un peu mieux. Je prends mes peurs et je les transforme en chansons, en couleurs, en formes, comme un plasticien.

Si un terme vous définit, c’est bien la joie, non ?

Plutôt la curiosité. Je ne suis pas que joyeux, mais surtout curieux. Je sens aussi tout le temps que l’amour n’est jamais très loin de nous. L’autre jour, avec ma sœur, on faisait du sport dans un parc. Il y avait des vieilles dames et des vieux messieurs, sur des bancs, qui commentaient nos exercices ! Je me suis avancé en esquissant une révérence et je leur ai dit : « Bon après-midi à vous, le spectacle commence maintenant. Merci. » Et là, il s’est passé quelque chose, certains ont applaudi. Je m’en fiche du sport, ce qui reste dans ma tête, c’est d’avoir ressenti un peu d’amour à ce moment-là.

Faites-vous ce métier pour être aimé ?

Pas du tout. Si c’est ce que l’on recherche, je pense que l’on ne peut pas être dans sa propre vérité. Quand je parle d’amour, c’est une sorte de lumière plus universelle que personnelle, liée à une philosophie humaniste.

Le titre « C’est la vie » rend hommage à votre maman ?

Il s’agit d’un hommage à la vie et aux souvenirs qu’elle nous a laissés et qui continuent en nous. Ce n’est pas un hasard si c’est la dernière chanson que j’ai composée, alors que l’album était terminé. Ce titre montre la démarche que j’ai eue et pourquoi j’ai conçu cet album. Non pas qu’il soit entièrement dédié à ma mère. Je reconnais une légèreté d’esprit qui s’entend dans les morceaux et qui me plaît énormément. Je ne me pose pas la question de savoir si les gens vont aimer ou non. Quand j’évoque ma vie personnelle, c’est aussi sans complexe. Je ne sais pas vraiment ce qui s’est passé, mais je ressens une plus grande liberté par rapport à mon album précédent, y compris dans ma vie en général. Je prends beaucoup plus de plaisir dans tous les domaines. Je me sens libéré.

Peut-être cela est-il lié au fait d’avoir eu 40 ans ?

C’est drôle car, il y a quelques années, je m’étais dit que si, à 40 ans, j’arrivais à prendre des risques, à avoir de nouveaux projets, à continuer la musique et à en être fier, alors ça serait bon signe. C’était mon ambition et mon défi. Dans ce métier, il n’est pas donné à tous de devenir quadragénaire tout en gardant cette candeur et cette joie. Il faut jouer comme un enfant et réagir comme un adulte.

Pouvez-vous nous parler de la genèse de votre chanson « Bougez » ?

L’idée est née parce que Valérie Lemercier, qui fait secrètement des voix sur mon titre Jane Birkin, en avait assez d’entendre à la radio, chaque fois que l’on nous vend de la malbouffe, ce slogan : « Pour votre santé, bougez plus ! » Elle m’a invité à écrire sur cette absurdité. Le soir même, je suis allé à un concert où je me suis ennuyé. Les premiers mots me sont venus et je me suis dit que ma copine était géniale. Elle avait raison et j’ai écrit la chanson. Je l’adore, c’est vraiment mon amie. Elle me fait rire, elle est aussi fun que sérieuse. C’est une femme intelligente qui prend des risques comme si elle avait 19 ans.

Quand avez-vous écrit « Jane Birkin » ?

Bien avant sa disparition et ça a été très instinctif. J’avais vu l’un de ses concerts symphoniques, c’était tellement beau ! Elle avait changé physiquement, mais elle communiquait la même lumière. Birkin, c’est une âme, elle a toujours été une référence pour moi, peut-être parce qu’elle avait, elle aussi, ce côté anglo-français, mais pas seulement… Elle était intello et surtout antisnob. Je ne suis pas du tout snob, je déteste ça !

Pourquoi un album entièrement en Français ?

Je voulais le faire depuis très longtemps. La France, c’est une grande partie de mon cœur. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle. Je me suis construit avec différentes identités culturelles et c’est très bien ainsi. Je recommence à avoir des projets en Angleterre, alors que j’avais arrêté d’y aller, car j’en avais ras-le-bol. Tout en sachant que, un jour, je trouverais ma façon de faire la paix avec ce pays, qui a été celui de mon enfance, de ma vie scolaire, de mon éducation… Je vais y donner de nombreux concerts, je termine également un disque en anglais, qui sortira l’année prochaine, y compris en France.

Sur un album, vous êtes partout…

Je m’investis globalement, dans les photos, les costumes, les clips… Et j’ai ouvert mon propre atelier. J’en suis le directeur artistique. J’avais demandé à des marques de créer des costumes avec des fleurs géantes pour évoquer cette idée de renaissance. Mais elles ont refusé, alors j’ai décidé de les fabriquer avec des potes. Ainsi, personne n’est là pour nous dire non. J’adore la mode mais, quand on a une idée en tête, on doit avoir la possibilité de la réaliser, à l’instar de nos icônes qui jouaient avec les fringues et racontaient des histoires avec. Mick Jagger allait chez de petits couturiers de Naples ou de New York et s’amusait comme un fou. Aujourd’hui, les artistes ont perdu ça. C’est bien, de temps en temps, d’être habillé par des marques, c’est beau, mais ça n’est pas tout. On a le droit de porter un vêtement imparfait et de s’exprimer !

La tournée débute en mars 2024. Impatient ?

Oui. Avant, je pensais davantage au matériel, aux décors. Désormais, je conçois également des concerts qui sont vraiment de l’énergie pure. Je la provoque, mais on la crée avec le public. C’est ça, la vraie magie, celle qui va aussi me procurer du plaisir et transporter les gens. Finalement, tout est au service de l’énergie. Les chansons, la vie, la mort de ma mère, les problèmes de mon couple, la joie, les désirs, les fantasmes… tout cela doit être transformé en énergie. Celle-ci ne peut qu’être positive car, même si l’on raconte quelque chose de morose, au moins, ça sort. La chanson permet de résister aux aléas que la vie peut provoquer. En extériorisant, ça devient quelque chose qui ne fait plus partie de soi. Ça libère l’esprit et ça rend plus léger.

Source : Version Femina



Interview « Le Parisien » – Mika : « La France fait partie de moi »

À l’occasion de la sortie de son sixième album, « Que ta tête fleurisse toujours », le premier entièrement en français, nous avons demandé à l’artiste de nous parler du lien exceptionnel qu’il entretient avec la France, sa langue et sa culture. Révélateur.

Mika est à l’hôtel de Crillon, où on le rencontre, comme à la maison. Et à Paris comme chez lui. L’artiste à la double nationalité britannique et américaine, qui est né à Beyrouth et vit entre Miami, l’Angleterre et l’Italie, a habité dans notre capitale les sept premières années de sa vie de globe-trotter. La France a été l’un des premiers pays à faire de lui une popstar, en 2007, avec son premier album, « Life In Cartoon Motion » : 1,5 million d’albums vendus ! Et l’a même invité à chanter avant la finale de la Coupe du monde de rugby.

Il n’y a rien d’extraordinaire à ce que notre coach préféré de « The Voice » (où il revient après une parenthèse de quatre ans) ait enregistré un album entier dans notre langue. Son sixième disque, « Que ta tête fleurisse toujours », a été co-écrit avec deux auteurs, un reconnu, Doriand, et une jeune inconnue, Carla De Coignac, composé et produit avec Renaud Rebillaud et Valentin Marceau, alias Marso. Ce n’est pas notre album préféré, mais il ne manque ni de tubes ni d’invitations à danser (« C’est la vie », « Bougez », « Jane Birkin », « Apocalypse Calypso »…) et promet une nouvelle tournée haute en couleur.

Son album. « Quand j’ai annoncé que j’allais faire un album en français, mon entourage avait peur que cela me limite à l’étranger, au moment où l’Asie se reconnecte de manière forte et les États-Unis se vendent à une vitesse pas vue depuis mon premier album : Tu vas t’enfermer dans une niche, m’a-t-on dit. Et c’est exactement le contraire. Les grandes salles où je vais tourner en Angleterre sont déjà complètes, alors que je vais chanter en français. À mon âge, 40 ans, et dans une industrie pop très brutale, il ne faut pas avoir peur d’être artisanal, de se démarquer des autres et de suivre son cœur. La France fait partie de moi, depuis l’enfance. J’ai fait cet album car ma relation à la langue française m’a énormément apporté dans ma vie professionnelle et privée. »

Son titre. « C’est le dernier message de ma mère avant sa mort. C’était un cadeau d’anniversaire. Elle qui le faisait toujours de ses mains, une chemise, un sac, un costume, ne pouvait plus. Alors, on lui a donné un iPad et elle m’a dessiné avec des fleurs sortant de la tête. Je me suis rendu compte bien plus tard que c’était une provocation en plus d’une invitation à rester créatif. Ce fut une libération aussi. Je trouve qu’il faut répondre à la mort avec la même férocité qu’on répond à la vie. C’est une philosophie de vie. »

La chanson « Moi, Andy et Paris ». « C’est la première fois que je consacre une chanson à mon compagnon (Andreas Dermanis), avec qui je suis depuis longtemps. On a eu une énorme dispute il y a quelques années, il est parti à l’aéroport et on ne s’est pas parlé pendant plusieurs semaines. Je devais écrire là-dessus et j’ai instinctivement écrit en français, en sachant qu’il ne comprendrait pas tout de suite. Et, évidemment, il a compris. Et c’est lui qui a insisté pour que je la mette sur l’album. »

Jane Birkin. « Cette chanson, Jane Birkin, je l’ai écrite bien avant sa disparition. Je l’ai rencontrée plusieurs fois. Elle me fascinait, en tant que femme et artiste, et me ramenait toujours à la question de ma vie, d’où je viens ? Elle représente l’érosion des frontières, la sensualité, la nudité et la pudeur, l’intelligence et l’anti-snobisme, dans un monde de plus en plus snob… J’aimerais être comme elle, un jour. Sur cette chanson, je voulais absolument une présence féminine. J’ai demandé à Valérie Lemercier, avec qui je suis devenu très ami, de venir faire de petites interventions. Et c’est elle en studio qui m’a donné l’idée de la chanson Bougez, qui se moque des injonctions à la radio pour votre santé, bougez plus. »

Ses lectures en français. « J’adore Camus, les personnages et les lieux qu’il construit, les questions existentielles qu’il nous pose. Mais je veux citer un livre récent, Beyrouth-sur-Seine de Sabyl Ghoussoub. C’est passionnant. Cela parle intimement d’un sujet très important pour la France, de l’immigration, de l’idée de grandir ici en venant d’ailleurs, comment tu formes ton identité… Je me suis reconnu dans cette histoire. Cela fait du bien de lire pour comprendre sa propre vie et le monde autour de nous, pour nous rendre plus empathique. Je l’ai lu lentement. Je parle assez bien français mais j’ai du mal à le lire et à l’écrire. »
« J’ai des amis partout en France. Après un concert, je conduis pendant une, deux, trois heures. Et ceux que je vais voir le plus, ce sont mes amis dans les restaurants et les hôtels. »

Ses chanteuses. « J’en choisis deux, une du passé, une de l’avenir. Barbara et Juliette Armanet. J’adore les gens qui chantent au piano. Barbara, c’est pas très original, mais je suis tellement geek que je veux entendre ses chansons dans toutes les versions. Comme la Solitude, ma préférée de la chanson française. Je ne reprendrais pas Barbara sur un album, mais sur un concert, avec grand plaisir. Seul au piano. Comme une conversation. Et j’aime aussi Juliette Armanet. À chaque festival que je fais, je veux voir au moins un autre artiste. Et j’ai craqué très fortement sur elle. Qui en pureté est extrêmement forte et fait aussi le show. Et dans ce monde où tout le monde pleure sur Instagram, c’est hyper difficile de faire la showgirl devant 20 000 personnes. Il faut bizarrement se séparer de l’ego pour oser cela. »

Son meilleur souvenir parisien. « J’ai vécu jusqu’à sept ans à Paris. On louait un très joli appartement avec plein de musique et de couleurs. Ma mère avait son atelier de couture dans le salon. Elle avait organisé un shooting de ses créations avec un ami photographe. Je dois avoir 6 ans et, avec mes deux sœurs, on pose devant la tour Eiffel. On est habillés en rose, en noir, avec de grands nœuds. Une photo existe. Je vois ma mère faire ce qu’elle aime avec les gens qu’elle aime. Je pense que tout part de là. J’aimerais bien faire ce que j’aime avec les gens que j’aime. Et tout le monde nous regarde. Ce que je porte est différent, mais pas absurde. C’est créatif, plein d’amour et de fun. C’est aussi un moment clé sur la manière dont je peux vivre ma vie librement. C’est juste avant que mon père (banquier) soit retenu au Koweït. À son retour, il perd son super travail, on part à Londres et la vie bascule. »

Ses amis dans l’Hexagone. « J’en ai beaucoup. Des artistes, designers, écrivains, des gens des médias, comme Marc-Olivier Fogiel, avec qui j’ai une amitié forte. On se dit tout, tout le temps, cash, ça permet d’éviter le confort et avancer. Mais j’ai des amis partout en France, où je voyage énormément en voiture. Après un concert, je conduis pendant une, deux, trois heures. Et ceux que je vais voir le plus, ce sont mes amis dans les restaurants et les hôtels. Une de mes meilleures copines, c’est Brigitte Pages de Oliveira, qui a un hôtel à Arles. À mon dernier Bercy, j’avais invité dans ma loge les serveurs de la brasserie Chez Georges, ma cantine parisienne. Ce soir, c’est à vous d’être servis. J’ai l’impression qu’on fait le même job, qu’on travaille pendant que les autres font la fête, qu’on est tous dans la même troupe de cirque. »

Son plat français préféré. « Le coq au vin. Je sais le cuisiner, mais il faut au moins prendre deux jours pour le préparer. Je cuisine beaucoup, j’adore ça. Si je pouvais arrêter de travailler dans la musique, je prendrais un an à l’institut Paul-Bocuse. »

Source : MikaWebsite[.Com!]Le Parisien



Interview « Sud Ouest » – Mika : « J’adore l’idée de l’amour engagé »

Pour la première fois, le chanteur de « Elle me dit » propose un album intégralement francophone, plus intime que les cinq premiers, sans renier sa pop remuante

Son deuxième album en 2012 («The origin of love ») contenait certes quatre titres en français, mais le tout juste quadragénaire Mika, artiste anglo-américain d’origine libanaise avec passages en France, a cette fois-ci conçu et réalisé « Que ta tête fleurisse toujours » entièrement dans la langue de Molière, sans que Shakespeare s’en mêle. Perché sur le nuage de sa pochette, toujours kitsch en diable, le musicien allie avec adresse et finesse ADN pop et textes sensibles.

Retrouvez cette interview dans le du journal « Sud Ouest » du samedi 09 décembre 2023.

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Vidéo : Mika en live et en interview dans « Le Double Expresso RTL2 »

Mika était l’invité du Double Expresso RTL2 ce vendredi 8 décembre 2023. Le chanteur qui vient de sortir son nouvel album « Que ta tête fleurisse toujours » a répondu aux questions de Grégory Ascher et de Justine Salmon et a interprété deux titres en direct des studios de la station Pop-Rock, son nouveau single « C’est La Vie » et le maintenant classique « Underwater ».

 

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Source : RTL2



Vidéo : Mika en interview et en live dans « C à vous » sur France 5

Mika était invité dans l’émission « C à vous » diffusée sur France 5 le jeudi 07 décembre 2023. Il a été interviewé et a chanté son titre « Jane Birkin ».

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Vidéo : « En aparté » avec Mika

Une personnalité est invitée par Nathalie Levy à évoquer son actualité et à parler de sa vie et de sa carrière. L’entretien se déroule dans un appartement où l’invité est seul et répond aux questions de son hôte dont on n’entend que la voix. C’est au tour de Mika de se prêter au jeu. L’émission a été diffusé sur Canal+ le mercredi 06 décembre 2023.

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Vidéos : Interviews « Radio Contact », « RTL info » & « VivaCité » – Mika fait la promotion de son nouvel album en Belgique

Mika était en Belgique afin de promouvoir son nouvel album « Que ta tête fleurisse toujours » disponible depuis le 01 décembre 2023. Découvrez les vidéos des interviews diffusées sur « Radio Contact », « RTL info » & « VivaCité ».

Interview « Radio Contact »

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Interview « RTL info »

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Interview « VivaCité »

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Vidéo : « Basique » – La pop contrastée de Mika

Mika nous parle de son dernier album « Que ta tête fleurisse toujours ».

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Source : YouTube Basique



Vidéo : Mika en répétition avec les élèves de la « Star Academy 2023 »

Voici un extrait de la quotidienne de la « Star Academy » du dimanche 3 décembre 2023 dans lequel vous pourrez voir Mika répété avec les élèves.

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Printemps de Pérouges : Mika en concert le jeudi 27 juin 2024

Mika rejoint la programmation du Printemps de Pérouges qui se tiendra du 25 au 30 juin, au château de Saint-Maurice-de-Rémens, dans l’Ain.

Après Slimane, Zucchero ou encore Claudio Capéo, on a appris ce lundi que le chanteur franco-libanais sera sur scène le 27 juin prochain avec Julien Granel !

Réservez vos places dès maintenant sur le site officiel du festival.

CARRE OR – ASSIS NUMEROTE – plein tarif 78 €
CAT 1 – ASSIS NUMEROTE – plein tarif 66 €
CAT 2 – ASSIS NUMEROTE – plein tarif 59 €
FOSSE – DEBOUT – plein tarif 48 €

Source : Printemps de Pérouges



interview « Pure Charts » – Mika : « Parler de sexe dans mes chansons, c’est très libérateur »

Alors qu’il sort son nouvel album « Que ta tête fleurisse toujours », Mika se confie à Purecharts sur son rapport à la langue française, comment transformer la douleur, ses chansons coquines, sa vision du couple ou son retour dans « The Voice ». Interview !

Ton nouvel album vient de sortir et il est intégralement en français. C’est une première ! Pourquoi avoir eu envie de le faire à ce moment-là de ta carrière ?

Je pense que ça fait quelques années que je voulais vraiment des nouveautés. Une première BO de film, des projets symphoniques… Beaucoup de choses dans ma vie personnelle et créative, qui m’ont donné ce sentiment de renouvellement. Et c’est super important ! L’album en français fait aussi partie de ça. Ça faisait longtemps que je voulais chanter en français et écrire toute une collection de titres en français mais je n’avais pas vraiment l’idée de comment le faire. Et j’avais peur de confronter cette réalité, de devoir écrire les textes et que ça sorte de la même manière que quand je le fais en anglais. Le moment où j’ai compris que je pouvais rester moi-même, que la manière dont je parle aux Français se prêtait à écrire les paroles, là c’est devenu une sorte de refuge. J’ai pu écrire avec beaucoup de liberté et ça m’a plus énormément. J’ai dû me décomplexer avec la langue de Molière pour accepter le français de Mika. (Rires)

Oui, car les mots ne sonnent pas pareil en français qu’en anglais. Ça a été difficile de trouver les bons pour que ça rende bien ?

Dans ma vie, j’ai chanté en allemand, en anglais, en français, en italien et un petit peu en espagnol. Je trouve que la langue la plus belle à écouter c’est probablement l’italien mais c’est aussi la plus difficile à chanter car tout est ouvert. La langue la plus facile à chanter c’est l’anglais, ça se prête très bien surtout pour la pop et le rock, ça glisse. La langue la plus amusante, c’est le français, ça nous permet de dire des choses où le rythme est impliqué. C’est comme si on utilise la voix comme un instrument percutant. Et ça marche bien ! Je me suis vraiment amusé parce que je n’avais pas de complexes par rapport à la complexité de mes phrases. Les mots sont simples mais les thèmes et le message sont plus profonds, et ça, cette démarche, c’est fondamentalement pop et anglo-saxon. J’utilise le français pour revenir à cette approche très anglaise dans la pop.

L’album porte le titre « Que ta tête fleurisse toujours », en hommage à ta maman qui nous a quittés, mais l’album est très coloré. C’est pour conjurer le sort, la mort ?

J’adore l’idée de conjurer le sort, de métaboliser ou métamorphoser la mort. Il y a un livre iconique de mon enfance que j’adore avec une chenille qui bouffe toutes les feuilles et qui d’un coup devient un papillon. C’est un livre d’Eric Carle ! (« La chenille qui fait des trous », ndlr) J’aime bien l’idée qu’un album et des chansons puissent faire la même chose, même quand c’est quelque chose de douloureux comme une rupture ou la disparition de quelqu’un.

Il y a aussi plusieurs chansons coquines sur l’album ! C’est une facette de ta personnalité que tu aimes bien mettre en avant dans ta musique ?

Le côté charnel ou coquin dans plusieurs des chansons, c’est super important. Même si moi quand je parle, je ne parle pas comme ça ! Mais quand je fais de la musique et que je suis sur scène… Ce n’est pas que je perds ma pudeur car je peux être très pudique mais c’est une sorte de nonchalance qui est très libératrice. Et aussi, c’est en français, et le français se prête à ça. Si je dis en anglais, comme dans « Apocalypse Calypso », « Une bulle, on baise », c’est juste horrible, alors que là ça reste beau. Je ne sais pas pourquoi ! Vous devez me le dire !

Peut-être que ça n’a pas le même sens quand on le dit…

C’est exactement la même signification, c’est juste que c’est plus nuancé, plus complexe. Pourquoi les Français peuvent dire dans une chanson pop qui peut passer à la radio « on baise » et en anglais, ça fait naze ou vulgaire ? Voilà le plaisir de chanter dans une langue différente ! Moi je peux le faire et c’est super important.

Tu l’avais déjà fait avec « Boum boum boum » ou « Ice Cream »…

Ah non, pas de la même manière ! « Boum boum boum », c’est plus nuancé, « Ice Cream » c’est totalement des métaphores. Là, c’est direct, c’est frontal, mais ça reste élégant. C’est curieux…

Il y a une chanson très jolie sur l’album c’est « Moi, Andy et Paris ». J’étais étonné car elle évoque ton compagnon mais c’est une chanson de rupture !

Oui…

Mais vous êtes toujours ensemble, je crois, non ?!

C’est dommage que ta voix ne s’entende pas dans cette interview parce qu’elle me fait rire. (Rires)

Je prends des pincettes ! Pourquoi avoir fait ce choix au lieu d’une pure chanson d’amour ?

Nous, ça fait 18 ans qu’on est ensemble, mais je crois que chaque grande histoire d’amour si vous voulez, ou long-terme, est formée de beaucoup de ruptures. Quand on réussit à faire un pont avec une grande rupture, ça devient une force, comme si c’était des muscles. Le plus on arrive à en former, le plus on pourra peut-être y résister. Heureusement, ça garde la vie intéressante… On a tous besoin de piquant. Il ne faut pas juste vivre sur du pain blanc et de la Vache qui rit. (Rires)

J’ai lu que ton compagnon était quelqu’un qui n’aimait pas la lumière et qui trouvait que ton métier prenait trop de place. Tu as pensé à tout arrêter par amour ou pour faire passer ta vie privée en priorité ?

Tout arrêter, je ne sais pas ce que c’est. J’ai commencé très jeune, et je ne parle même pas de mon premier album car j’existais avant « Relax, Take It Easy » !

Oui, j’ai appris dans le podcast « Canapé six places » que tu as eu ton premier boulot à 8 ans !

Premier job payé à huit ans exactement ! (Rires) Mon système de valeur pour moi-même, et c’est horrible de le dire, c’est aussi connecté au fait que j’aime mon travail et que je veux le faire. C’est pas que j’aime tout ce que je fais de la même manière… Il y a des trucs dont je suis fier et d’autres que j’aimerais bien effacer mais ça fait partie du processus. Tout arrêter pour une vie privée ce serait impossible car la vie privée souffrirait. Je serai complètement intolérable. Il faut trouver un équilibre, et peut-être que je ne l’ai pas trouvé pour l’instant. Peut-être que c’est un challenge pour le futur…

Cette chanson est intéressante aussi car tu es l’un des rares artistes masculins queer à chanter son amour pour un garçon. C’est important pour toi, pour la représentation ?

Il y avait cette tendance, il y a quelques années… Je me souviens, je voulais écrire pour un groupe français, je suis allé les voir. Je leur ai dit : « J’aimerais bien écrire sur ça et ça, ce serait très beau d’entendre ça dans vos bouches ». Ils m’ont dit : « Mais il y a un message ? ». J’ai dit : « Ce n’est pas un engagement, mais c’est un message oui ». A l’anglo-saxonne quoi, il faut savoir pourquoi on écrit et après on peut écrire pour quelqu’un. Et le groupe m’a répondu : « Non mais les messages c’est pour la Poste, c’est pour les facteurs ! ». Je me suis dit : « Mais pourquoi il y a cette tendance à ne pas s’engager ? »

C’est fou !

Maintenant, heureusement, ça a complètement changé. Dans la pop, il y a énormément d’engagement. Je n’écris pas une chanson comme « Moi, Andy et Paris » en pensant que c’est pour la représentation. Je ne bloque pas ce qui sort de ma tête ou de ma bouche parce que j’ai envie de le dire, ou par peur que ça va être mal pris ou que quelqu’un ne va pas être d’accord avec la perspective… Il ne faut pas. L’idée c’est d’avoir un engagement constant, mais qui reste poétique et artistique. C’est très puissant, et c’est aussi puissant pour l’artiste. J’étais pas comme ça quand j’étais plus jeune, mais la musique m’a donné la possibilité de l’être. Il y a plein de manières différentes de se libérer, de se sentir engagé. Il faut trouver votre propre manière. Moi j’ai trouvé la mienne.

La chanson « Doucement » a l’air de faire écho au harcèlement scolaire…

Pourquoi ? C’est intéressant…

C’est l’histoire de quelqu’un en souffrance, qui n’a « pas beaucoup d’amis dans son téléphone » par exemple…

En fait, ça parle du sentiment d’être isolé et de ne pas avoir de valeur pour soi-même. Ça peut être le résultat de beaucoup de choses. Du harcèlement en général, scolaire aussi, ou d’une version adulte de la même chose. Ça dit surtout que si tu ralentis, tu peux voir plus loin. Si tu vas trop vite, tu ne peux pas prendre en considération la distance, la vue longue qui te donnera de la perspective sur ce qui est en train de se passer dans ta vie. Je pense que c’est super important. Quand on se sent dévalorisé ou isolé, c’est comme si la vie était là. (Il colle sa main sur son visage) On voit rien, on voit juste devant nous. En anglais, on dit « pouvoir faire la différence entre l’arbre devant soi et la forêt ».

Tu étais récemment avec Brigitte Macron ou Gabriel Attal dans un lycée récemment pour parler du harcèlement scolaire. Ça t’a fait du bien personnellement de partager ton vécu ?

J’ai parlé devant ces enfants, et ils étaient beaucoup plus impressionnants que le ministre de l’Education ou Madame Brigitte Macron. (Rires) C’est eux qui me faisaient peur dans ce contexte. J’étais dans un lycée, ils étaient 350, de 11 à 17 ans. Je ne savais pas ce que j’allais dire, je n’avais rien écrit, d’un coup je commence à parler et je sens ce besoin d’être complètement transparent par rapport à ce que j’ai vécu. Je pense que c’est très important de le faire. Rester vrai, juste dire : « Voilà, moi ça s’est passé comme ça et c’était vraiment mauvais et je vous explique à quel point. Mais il y avait une solution, même si je ne le savais pas. Avec un peu de recul, je vous explique. Et peut-être vous pourrez vous approprier une partie de cette histoire dans votre propre défi ».

C’est important d’avoir des références.

Il faut être à l’écoute, il faut que les enfants soient écoutés. Il ne faut pas qu’on le dise et que tout le monde s’en fiche. C’est trop souvent le cas. De l’autre côté, il faut provoquer une sorte de communauté, une vraie communauté, entre les murs de l’école et autour. Dans une communauté, c’est plus facile d’y créer des liens et de faire le pont entre des gens très différents, et provoquer plus d’empathie. On ne peut pas donner des cours d’empathie mais on peut faire beaucoup plus pour renforcer et encourager le sentiment d’une communauté.

Dernière question, tu es de retour dans « The Voice ». Tu arrives encore à être surpris ?

Je suis revenu et je suis content d’avoir eu un break. C’est une émission que j’aime beaucoup, surtout la version en France, car elle est très différente des autres. Entre les deux frères à ma gauche, et Vianney et Zazie… Même Zazie, elle est différente. Ça parle très vite et très fort. (Rires) Ça va très vite, c’est une énergie complètement différente. J’étais étonné à quel point la mécanique peut rester la même mais à l’intérieur tout peut changer, l’énergie peut changer. Ça m’a plu énormément. Je me suis beaucoup amusé sur les auditions. Et cette ambiance, elle est fondamentalement importante. S’il n’y a pas cette ambiance, vous n’aimerez pas l’émission, c’est sûr.

Source : Pure Charts



Concours de Noël ouvert à tous : «Que ta tête fleurisse toujours »

MikaWebsite[.Com!] est heureux de présenter son nouveau concours : « Que ta tête fleurisse toujours ». Il y aura 1 seul et unique gagnant !

Ce concours est ouvert à tous les internautes qui résident en France métropolitaine. Pour participer et prendre connaissance des modalités cliquez ici ou sur la photo ci-dessus, ou rendez-vous dans le menu en haut de la page dans la rubrique « Association Loi 1901 », puis cliquez sur l’onglet « Concours ».

Source : MikaWebsite[.Com!]



Festival de Carcassonne : Mika en concert le jeudi 25 juillet 2024

De retour avec un nouvel album « Que ta tête fleurisse toujours », Mika vient écrire un nouveau chapitre au Festival de Carcassonne avec son Apocalypse Calypso tour ! Il sera en concert au Théâtre Jean-Deschamps le jeudi 25 juillet 2024.

Artiste aux multiples disques de platine, il révèle son nouveau défi : un album 100% en français, « un album francophone », sorti en décembre 2023, à travers lequel il explore une part inédite de son intimité et honore ses identités multiples, toujours en mouvement. Il y a comme toujours dans ses mélodies et ses textes cette candeur joyeuse et décalée lorsqu’elle rencontre la profondeur de son message. À l’image de ce nouveau spectacle qui s’annonce intensément joyeux et émouvant !

Ouverture de la billetterie le mardi 5 décembre sur le site officiel du festival de Carcassonne.

Tarifs : 59€* en placement libre – Carré Or : 69€*

*Frais de location inclus. Seules les places en carré d’or sont numérotées.

Source : MikaWebsite[.Com!]Festival de Carcassonne



Interview « Max Sudinfo » – Mika : « Je n’ai jamais voulu me retrouver seul dans ce business »

Sa pop a toujours été fleurie et colorée. Mais ce qui frappe en rencontrant Mika est bien plus profond: la force de son engagement, la réflexion sur lui-même, sur son métier et sur la société qui l’entoure. Élégamment, joyeusement aussi, il se raconte en chansons dans «Que ta tête fleurisse toujours» et nous en dit bien plus encore ici…

Retrouvez cette interview dans le supplément « MAX » (n°108) du journal « Sudinfo » (n°324) du samedi 02 décembre 2023.

Cliquez et téléchargez les pages du magazine au format PDF.

Source : MikaWebsite[.Com!]



Vidéos : Mika sur le plateau de la « Star Academy 2023 »

Le samedi 02 décembre 2023 était diffusé sur TF1 le 5ème prime de la « Star Academy ». Plusieurs artistes étaient invités, dont Mika ! Revivez ses prestations du chanteur !

Lénie, Pierre et Axel sont les trois chanceux qui ont décroché un medley avec Mika. L’artiste interprétera en duo avec les élèves trois de ses grands titres. Lénie chantera « Relax », Pierre « Elle me dit » puis Axel, « Happy Ending ». Un medley plein d’énergie et de peps !

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Toute la semaine, les élèves ont répété leur collégiale. Pour ce cinquième prime, c’est tous ensemble (sans les nommés) qu’ils vont interpréter un titre dElton John : “I’m Still Standing”. Mika rejoints les élèves sur le plateau pour terminer la chanson avec eux.

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Sur le plateau de la Star Academy, Mika vient nous interpréter son titre « Jane Birkin » tiré de son album « Que ta tête fleurisse toujours ».

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Source : MikaWebsite[.Com!]MYTF1



Vidéo : L’invit.live – Retrouvez le live de Mika pour le lancement de son nouvel album I E.LECLERC

Tout est dans le titre de la news : L’invit.live – Retrouvez le live de Mika pour le lancement de son nouvel album I E.LECLERC !

Bon visionnage et téléchargement !

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Source : YouTube ELeclercFranceMikaWebsite[.Com!]



Vidéo : Interview « Franceinfo » – Mika : « La créativité permet de garder l’espoir »

Tous les jours, une personnalité s’invite dans le monde d’Élodie Suigo. Ce vendredi 01 décembre 2023, l’auteur, compositeur et interprète, Mika. Il sort son sixième album : « Que ta tête fleurisse toujours » et prépare une tournée qui débutera en mars prochain.

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Source : MikaWebsite[.Com!]Franceinfo